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14 mai 2018

De Angelis: des blanches et des noires

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La première fois que j’entendis parler d’Elio De Angelis, c’est lorsqu’il « bouscula » quelque peu Patrick Gaillard à l’épingle du Loews, lors d'un GP de Monaco de formule 3. Ça n'était pas pour nous réjouir, mais il s’ouvrit ainsi les portes de la victoire devant tout ce que le « milieu » comptait de décideurs.

La dernière fois, ce fut dans une villa de La Ciotat, où un ami d’un ami m’hébergeait pour mes vacances, séjour essentiellement consacré à progresser en planche à voile. Cet ami, dont j’ai oublié le nom, faisait du kart ou de la formule Renault, je ne sais plus. Le Castellet tout proche était son jardin. Il me raconta alors, me montrant des bouts de carrosserie en Kevlar, « j’étais là-bas quand Elio est sorti, c’était horrible, personne n’a rien pu faire… Alors voilà, j’ai ramené quelques pièces de carrosserie de la Brabham, en souvenir de lui ».

Alain Hawotte nous rappelle dans une note brève et émouvante la trajectoire du pilote romain, toute faite de style et d‘élégance.

Racing' Memories

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