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07 février 2017

Les plongeurs de Monaco

alberto ascari,paul hawkins

La Ferrari 625 n’est pas un foudre de guerre. Il le sait parfaitement. Il a cependant préféré la choisir parce qu’elle est plus sûre que les nouvelles 555 Supersqualo, dont la tenue de route n’est pas convaincante. Il ne se fait pas d’illusion : il y a de la concurrence plus que sérieuse, présumée imbattable, en l’occurrence quatre puissantes Mercedes W196 à injection directe (1) pilotées par Fangio et Moss, la crème de la crème des pilotes en cette année 1955, et par André Simon et Hans Hermann.

par Raymond Jacques

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