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10 septembre 2019

Joie et tristesse sur le circuit de Monza

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La joie de la victoire du sympathique Charles Leclerc au volant de sa Ferrari le 8 septembre 2019. Charles a redonné aux Italiens le bonheur de d'assister à une nouvelle victoire d'une Ferrari, voici qu'une voiture rouge n'avait pas gagnée à Monza depuis 9 années.

par François Blaise


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Tristesse sur le circuit de Monza le 10 septembre 1961.

Nous n'oublierons pas l'une des plus grande catastrophe du sport automobile. Le 10 septembre 1961 se produisit un accrochage au deuxième tour entre deux champions Jim Clark et Wolfgang von Trips avant l'entée du virage de la Parabolique. Cet accident provoqua la mort de 14 spectateurs et de nombreux blessés. La disparition du sympathique Wolfgang Alexander Reichsgraf Berg von Trips ( appelé par ses amis Taffy ) provoqua une énorme tristesse dans le milieu du sport automobile, Taffy aurait dû en fin de championnat devenir le premier champion du monde allemand. L'un de ses coéquipiers de la Scuderia Ferrari G.C. Baghetti écrivit ceci : Taffy était un véritable gentilhomme, un maître, un ami affectueux .

 

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- Photos de François Blaise et Y. Debraine;

Commentaires

C'est tellement sympa de revoir à nouveau François Blaise sur Racing' Memories, 7 ans après les débuts (30 juillet 2012) ! Sa note est brêve, mais l'émotion n'y est pas feinte, elle transpire dans les mots. Pour ceux et celles qui ne le savent pas, François a été commissaire de course pendant quelques... décennies. Il a tout vu, fréquenté les plus grands, dans les paddocks et sur les circuits.
Il fallait rendre cet hommage à Taffy, François l'a fait avec tout son tact et tout son talent.
Merci François.

Écrit par : Francis | 10 septembre 2019

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J'avais 14 ans lorsque Wolfgang von Trips est mort sur le circuit magique de Monza (dégustez sans aucune modération le merveilleux film "Grand Prix" de John Frankenheimer...). Il faisait partie de cette génération de pilotes dont dix à quinze pourcent des représentants se tuait chaque année en course ou en essai.

La course automobile moderne ne m'intéresse plus : circuits tourniquets faits plus pour la télévision que pour le spectateur de bord de piste, voitures bardées de machins aérodynamiques et de publicités, pilotes devenus des sortes de dieux vivants intouchables et inabordables. Ceci n'est plus ma planète : elle est morte, étouffée par la "big money".

Merci, Monsieur François Blaise pour cette courte note chargée de souvenirs.

Écrit par : Raymond Jacques | 10 septembre 2019

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Je partage complètement votre avis.

Comment peut-on appeler "Formule 1" un engin qui ne pourrait pas conclure 2 tours au Nuerburgring (le vrai)?

Écrit par : philippe keymolen | 11 septembre 2019

Bonjour,

Trop jeune pour me souvenir de l'accident de Wolfgang von Trips, je ressens chaque année, lors du GP d'Italie, un serrement au cœur en me rappelant les accidents de Jochen Rindt, Ronnie Peterson, mais aussi en moto ceux de Jarno Saarinen et de Renzo Pasolini.

Écrit par : Gérard Maury | 25 septembre 2019

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Gérard,
C'est sympa d'évoquer ici d'autres pilotes sur 2 roues. C'était aussi nos idoles de jeunesse, Saarinen, Pasolini, Findlay... A propos, vous ne connaîtriez pas par hasard la marque de casque - alternative au Cromwell - que portait Bergamonti ?
Quand à Jochen Rindt, je ne peux évidemment pas oublier, j'étais sur place.

Écrit par : Francis | 25 septembre 2019

Je n'ai jamais été autant accro à la moto qu'à la F1, même si je me souviens avoir vu Jarno Saarinen au Paul Ricard au GP de France de 1973. Je ne peux donc pas vous dire quelle était la marque du casque de Bergamonti et n'ai aucune archives moto de cette période.

Désolé

Écrit par : Gérard Maury | 26 septembre 2019

A quand une note moto Francis ....? Je ne suis pas trop compétent dans le domaine... J 'apprécie par contre beaucoup le champ moto actuel souvent très disputé ...Un régal de compétition.

Écrit par : F.Coeuret | 26 septembre 2019

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