01 avril 2021
Parade à Syracuse
Grand Prix F1 de Syracuse, Sicile, 1er avril ou 21 mai 1967 ?
Certaines courses se distinguent par leur caractère atypique. Elles ont lieu sur des circuits mythiques, dans des cadres légendaires, elles rassemblent le gotha des pilotes, des constructeurs, sont le théâtre d’un enjeu crucial, n’eurent lieu que lors d’une seule édition… Ou se signalent par une participation squelettique.
Cadre exotique, maigre plateau, ultime édition en 1967, le Grand Prix de Syracuse fait partie des courses à oublier. Des attributs qui en font une curiosité, un ersatz de Grand Prix … « J’aimerais tant voir… ».
par François Coeuret
00:10 Publié dans j.siffert, l.scarfiotti, m.parkes | Tags : parkes, scarfiotti, syracuse | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | |
24 octobre 2018
Black Sunday
Quatorzième boucle de course, trois pilotes dominent ce début de Meeting. Le petit groupe est poursuivi par un quatrième homme qui cravache pour recoller au wagon de tête... Quand brusquement le chaos survient qui va emporter encore une vie.
par François Coeuret
08:21 Publié dans j.siffert, j.stewart, r.peterson | Tags : jo siffert, black sunday | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook | |
12 septembre 2018
Mont-Tremblant 68 : Un démon roulait avec Amon
Chris Amon a quitté ce monde il y a un peu plus de deux ans. Le Néo-Zélandais, après une longue carrière, retourna sur son île natale et y mena une existence moins tumultueuse que sur les circuits. On lui rappela souvent et avec insistance la malchance qui le suivit méthodiquement comme pour tenter d’obtenir une hypothétique explication au phénomène. Il répondait invariablement que sa chance fut de rester en vie après quatorze années de compétition automobile.
par François Coeuret
14:55 Publié dans c.amon, d.hulme, j.siffert, j.stewart | Tags : chris amon, mont-tremblant | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | |
07 mai 2018
Bankings(*) ! Lequel sera le plus « raide » ?
La compétition automobile, tout comme la haute couture, a ses modes. Elles sont le reflet d’un moment de l’histoire et de la société qui vit ce moment.
Avant nos modernes tourniquets, qui sont conçus pour qu’aucun pilote ne s’y tue et pour que les télévisions du monde entier se voient obligées de payer des droits de retransmission ahurissants au bénéfice d’une poignée d’organisateurs, les premiers circuits automobiles fermés et uniquement dédiés à la course se devaient de présenter des virages relevés, nommés « banking » chez nos amis anglo-saxons.
En voici quelques uns, par ordre d’ouverture et tous construits avant la Seconde Guerre Mondiale
par Raymond Jacques
(*Bank : talus, berge, levée de terre).
12:24 Publié dans a.ascari, j.behra, j.siffert | Tags : alexandre lamblin, raymond jamin | Lien permanent | Commentaires (12) | Facebook | |