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16 février 2021

Excusez-moi si je vous demande pardon…

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Le Mans 68 : #3 Greder-Maglioli,  #4 Giorgi-Garant

Mais j’en suis rendu au point où la compétition automobile moderne ne m’intéresse plus du tout. Les derniers pilotes dont j’étais capable de reconnaitre les visages sur des photos étaient Prost et Senna. Et Schumacher, bien sûr, mais dont l’écrasante domination sur la F1 avait légèrement tendance à me « courir sur le haricot » (comme dans une chanson d’Henri Salvador…).

La « big money » a envahi le sport auto, comme beaucoup autres sports, pour faire la fortune de quelques « happy few », me transformant ipso facto en vieux schnock nostalgique et presque gâteux. Mais il y a de vieux souvenirs de visages et de voitures qui restent tapis sous la voute de mon crâne (j’ai failli écrire « dans un coin de la voute », ce qui aurait été une prouesse architecturale). En voici quelques uns et quelques unes.

Je ne vous bassinerai pas avec les « héros » de mes précédentes notes tels que Jean Behra, Fon de Portago, Annie Bousquet, Claude Storez et quelques autres… Je rapporte ici quelques souvenirs de l’autodrome de Montlhéry ainsi que du Mans et de ses environs, souvenirs qui remontent à un certain temps, voire un temps certain.

Raymond Jacques

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04 février 2021

Monza 69... en super 8


 En 1969, je voulais devenir Beltoise, Jimmy Page, ou Jean-Luc Godard. Ça dépendait un peu des jours. Alors quand sonne le rendez-vous de Monza, juste avant la rentrée scolaire, je n'oublie pas de prendre avec moi ma caméra Kodak Super 8, le modèle de base M2, "Fun and easy to use".

J'avais complètement oublié ce bout de film, retrouvé par mon cousin Jo qui était avec moi en Italie. On voudrait juste qu'il dure un peu plus longtemps mais comprenez, à 15 ans la pellicule ça coûte cher, pour la GoPro il faudra attendre encore un peu.

Francis Rainaut

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