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07 juillet 2020

Hey Jo(e) ! (*)

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En prenant le départ du Grand Prix de France 1968 dans une Honda d’usine à l’âge de 40 ans, Jo Schlesser voyait se réaliser le rêve de sa vie. Mais à peine deux tours plus tard, le diable lui-même vint s’en mêler, et alors le rêve se transforma en cauchemar. Papa avait emmené mon frère à Rouen pour assister à la course, je ne sais plus pour quelle raison. Je n'étais qu'un teenager en 68, le récit qu’ils m’en avaient fait à leur retour m'avait glacé.

J'avais alors dans la tête toujours ce même hit, chanté par un métis américain un peu extraterrestre...

par Francis Rainaut

(librement adapté d'un article d'Adam Cooper dans MotorSport)

(* réedition)

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07 juillet 2018

Hey Jo(e) !

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En prenant le départ du Grand Prix de France 1968 dans une Honda d’usine à l’âge de 40 ans, Jo Schlesser voyait se réaliser le rêve de sa vie. Mais à peine deux tours plus tard, le diable lui-même vint s’en mêler, et alors le rêve se transforma en cauchemar. Papa avait emmené mon frère à Rouen pour assister à la course, je ne sais plus pour quelle raison. Je n'étais qu'un teenager en 68, le récit qu’ils m’en avaient fait à leur retour m'avait glacé.

J'avais alors dans la tête toujours ce même hit, chanté par un métis américain un peu extraterreste...

par Francis Rainaut

(librement adapté d'un article d'Adam Cooper dans MotorSport)

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