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29 janvier 2017

Comme un air de famille ...

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Observons bien ces deux monoplaces. On est d'accord, à chaque fois c’est bien John Surtees qui est derrière le volant, mais ce n’est pas ce qui nous importe aujourd'hui. Ce que l'on remarque surtout, c'est l'étrange similitude entre les deux voitures blanches, même s’il s'agit respectivement d'une Lola de formule USAC et d’une Honda de formule 1 et que leurs motorisations visiblement diffèrent. Et l’on comprend mieux cette ressemblance quand on sait que la Honda RA300 à été conçue chez Lola sur la base de la T90 qui, à peine modifiée, deviendra la T92. Cette RA300 est d’ailleurs identifiée T130 chez Lola (1). Vous suivez ? Et si cette pratique est aujourd’hui devenue monnaie courante, elle était encore assez rare à une époque où chaque voiture de course se targuait d’être « la seule et l’unique ». Raison de plus pour passer en revue quelques contre-exemples qui nous ont marqué.

(1) Lola elle-même ayant projeté une T110 F1 en 1967.

par Francis Rainaut

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10 janvier 2017

Arcangues

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En 1957, la télévision n’était qu’une sorte de prototype, dont l’usage était réservé à une « certaine élite ». On se tenait informés surtout grâce à la radio. Je me souviens du flash d’information du 12 mai sur Radio Luxembourg annonçant l’accident mortel du pilote de course de Portago aux Mille Miles en Italie, tuant aussi une dizaine de spectateurs dont cinq enfants. J’avais dix ans, je connaissais les noms de Fangio, de Moss, de Hawthorn, de Trintignant, de Jean Behra, mon préféré… De Portago ? Jamais entendu parler…

 par Raymond Jacques

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00:10 Publié dans a.deportago | Lien permanent | Commentaires (6) |  Facebook | |

02 janvier 2017

All You Need Is Love

john love,pedro rodriguez

Lundi 2 janvier 1967. Si l’on compte bien, ça doit tout juste faire cinquante ans.

Un diable de Rhodésien au volant d'une Cooper-Climax sortie d'on ne sait où s'apprête à remporter le Grand Prix d'Afrique du Sud, en ouverture du championnat du monde à Kyalami. Celui-là, il ne va quand même pas nous refaire le coup de Black Jack en 66, avec son Repco à deux balles, pardon, à deux soupapes par cylindre ! Il ne reste que six tours à parcourir, et deux Cooper sont alors en tête...

signé Francis Rainaut

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