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20 novembre 2019

Le Mans 66 : une histoire à la gomme ?

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Plein de choses ont été dites ou écrites sur le déroulement des 24 heures du Mans 1966, à commencer par les notes de Rene Fiévet sur Classic Courses, à lire et à relire sans modération.

Nous ne reviendrons donc pas sur cette dramaturgie du vainqueur déchu par Beebe et ses cols blancs, si ce n'est pour souligner l'extrême justesse de ton présente tout au long du film qui sort en ce moment.

Après l'émerveillement au cinéma, replongeons-nous dans Virage auto en 1966 et savourons ce compte-rendu qui complète utilement les à-côtés du duel Ford-Ferrari, avec comme seconds rôles des noms comme Chaparral, Porsche, Matra ou encore Alpine.

un texte de Jean Thieffry, mis en page par Francis Rainaut

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28 octobre 2019

Robin Herd (part 2) : la planète March

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Zandvoort 1970: Les March en escadrille (click to enlarge)

On poursuit la saga Robin Herd en reprenant le fil au tout début des seventies, quelque part en Afrique du Sud encore sous régime d’apartheid.

Où l'on en apprend de belles sur le GP de Belgique à Spa en 1970, sur la mystérieuse disparition d'une porte en acier à Watkins Glen, sur les dessous du couple Peterson-Chapman et sur les exploits, réels ou enjolivés,  du « Gorilla ».

Sans parler de la March 2-4-0 2WD ...

traduit et adapté par Francis Rainaut

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22 octobre 2019

Robin Herd (part 1) : Max et les ferrailleurs

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Robin Herd fut l'un des ingénieurs les plus respectés de la formule 1, le premier designer de McLaren et le co-fondateur de March. Véritable pilier des paddocks pendant deux décennies, il a aussi œuvré dans des domaines radicalement différents. Interviewé dans MotorSport, l’Anglais ne pratiquait pas la langue de bois.

Robin Herd nous a quittés en juin dernier, nous lui rendons hommage via une adaptation d'un article écrit par Simon Taylor pour la revue anglaise, dont voici la 1e partie.

traduit et adapté par Francis Rainaut

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28 août 2019

Victoire de l’aigle. GP de Belgique 1967

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L’ex G.I. engagé dans la guerre de Corée se passionne à son retour au pays pour la conduite sportive. Il est né à Port Jefferson (Long Island) aux US. Son aisance au volant est remarquée par Luigi Chinetti qui lui confie le volant de Ferrari sport. L’ « Ingeniere » lui donne ensuite sa chance en F1. Dan va devenir une valeur sûre pour les écuries de Formule 1. L’homme n’était pas dénué d’esprit d’entreprise. A l’instar de quelques pilotes il se lança dans la construction de monoplaces. Celles-ci portaient naturellement le nom du symbole des Etats Unis.

par François Coeuret

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06 juillet 2019

Charade '69 : allons enfants ...

beltoise,matra,stewart

Début juillet 1969… Une semaine à peine après notre virée à Reims et quinze jours avant les premiers pas de l’homme sur la lune, nous mettons le cap sur Clermont-Ferrand, ou plus exactement Charade, le pouce levé évidemment.

Car s’est décidé, mon cousin et moi on va « monter » en F1, après avoir été déniaisés à Montlhéry puis à Reims pour les F2, F3, Formule France et autres Coupe Gordini.

Au hasard des informations entendues  durant nos « stop » nous parvient la nouvelle de la disparition de Brian Jones, ex-leader des Stones, découvert noyé dans sa piscine. Mais pour le moment, c'est plutôt de « horse power » dont il va s'agir...

par Francis Rainaut

(voir aussi Charade à tiroirs)

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17 janvier 2019

Tasman '69 (suite): l'Amon tonique...

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Lakeside, Australian GP 1969 

La mariée était probablement trop belle, l'état de grâce n'allait donc pas durer. Qu'on se rappelle la saison soixante-huit et toutes ces courses où Chris la malchance était en tête…

Le Néo-zélandais réussirait bien à casser l’attache de ses lunettes, comme à l’International Trophy de Silverstone, ou peut-être même sa pompe à essence, comme à Jarama. A moins que la voiture de tête qu’il s’apprête à doubler ne lui projette un caillou dans le radiateur d’huile, comme ce fut le cas de la Honda de Surtees à Spa. Spa où il s'était permis de devancer Stewart 2nd sur la grille de 3,7 secondes, excusez du peu.

Si cela ne suffisait pas, on pourrait y ajouter Monza, où les techniciens de la Scuderia avaient piqué à Matra le concept d’aileron mobile hydraulique. Parfait tant que le liquide ne fuit pas et n’arrose pas copieusement les roues arrière (*) ! Ça vous suffit ? Sinon il nous reste encore le Mont-Tremblant ou Mexico.

Mais l'année 68 est bel et bien terminée, et là nous sommes aux antipodes. Voyons un peu comment notre Kiwi va s'en sortir...

par Francis Rainaut

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