15 mars 2021
le GP de PAU 1964
Le 5 avril 1964 représente une date clef pour le sport automobile français. Ce jour-là a lieu la 1re épreuve de la nouvelle Formule 2 1000 cc. Dans le plateau figurent cinq voitures « bleues », respectivement trois Alpine et deux René Bonnet, dont l’une confiée à « l’espoir » issu de la compétition moto, Jean-Pierre Beltoise pour ne pas le nommer, pour qui c’est aussi la première course en monoplace.
On note au hasard des participants F2 ou F3 les noms de Maurice Trintignant, d’Henri Julien mais aussi ceux de Johnny Rives, de Jacques Maglia ou encore du Prince Gaetano Starrabba di Giardinelli.
Ceci pour parler des pilotes latins, car les pilotes britanniques ont alors la mainmise sur les courses de monoplaces, avec à leur tête l’immense Jim Clark.
Replongeons-nous avec délice dans le compte-rendu qu’en avait fait Sport auto dans son numéro de mai 1964...
16:08 Publié dans j.clark, j.rosinski, jp.beltoise, m.trintignant | Tags : jp beltoise, jim clark | Lien permanent | Commentaires (10) | Facebook | |
15 novembre 2020
Gran premio de México 1964: ultimes tours pour un titre …
Le drapeau s'abaisse devant les dix-neuf pilotes qualifiés qui s’élancent pour le dernier Grand Prix de la saison. Trois d'entre eux peuvent prétendre au titre mondial. Lors de la course les trois hommes vont tour à tour se positionner en virtuel champion du monde. Jusqu’à ce que le sort désigne l'élu qui bénéficia de deux coups de pouce (de pousse ?) pour coiffer la couronne.
François Coeuret
17:38 Publié dans g.hill, j.clark, j.surtees, l.bandini | Tags : john surtees | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | |
03 septembre 2020
Balade écossaise : GP Italie 1965
Les deux pilotes britanniques sont au coude à coude en cette fin de course. Un Grand Prix haletant. Deux équipiers que le drapeau à damier doit départager. L’un est à la recherche de son premier succès tandis que l’autre, pilote confirmé, est déjà entré dans le cercle des champions du monde.
François Coeuret
14:28 Publié dans g.hill, j.clark, j.stewart, j.surtees | Tags : jackie stewart, jim clark | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | |
22 octobre 2019
Robin Herd (part 1) : Max et les ferrailleurs
Robin Herd fut l'un des ingénieurs les plus respectés de la formule 1, le premier designer de McLaren et le co-fondateur de March. Véritable pilier des paddocks pendant deux décennies, il a aussi œuvré dans des domaines radicalement différents. Interviewé dans MotorSport, l’Anglais ne pratiquait pas la langue de bois.
Robin Herd nous a quittés en juin dernier, nous lui rendons hommage via une adaptation d'un article écrit par Simon Taylor pour la revue anglaise, dont voici la 1e partie.
traduit et adapté par Francis Rainaut
17:37 Publié dans b.mclaren, c.amon, j.clark, j.stewart, r.peterson | Tags : robin herd, march | Lien permanent | Commentaires (5) | Facebook | |
28 août 2019
Victoire de l’aigle. GP de Belgique 1967
L’ex G.I. engagé dans la guerre de Corée se passionne à son retour au pays pour la conduite sportive. Il est né à Port Jefferson (Long Island) aux US. Son aisance au volant est remarquée par Luigi Chinetti qui lui confie le volant de Ferrari sport. L’ « Ingeniere » lui donne ensuite sa chance en F1. Dan va devenir une valeur sûre pour les écuries de Formule 1. L’homme n’était pas dénué d’esprit d’entreprise. A l’instar de quelques pilotes il se lança dans la construction de monoplaces. Celles-ci portaient naturellement le nom du symbole des Etats Unis.
par François Coeuret
15:27 Publié dans c.amon, d.gurney, j.clark, j.stewart | Tags : dan gurney, eagle, aar | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | |
19 avril 2018
John Miles, le troisième homme
Clermont-Ferrand, ou plus exactement Charade, juillet 1969. Nous sommes au GP de France, j'ai à peine 15 ans. Il s’agit du tout 1er Grand Prix de F1 auquel je vais assister. Le plateau est mince, seules treize monoplaces ont fait le déplacement. Depuis quelques temps, on ne parle que des « 4 roues motrices » qui vont tout révolutionner. Matra a amené sa MS84, qui visuellement est assez proche de la MS80 dominatrice.
Le team Lotus, quant à lui, engage la toute nouvelle type 63, qui tranche radicalement avec ce qu'on avait l'habitude de voir. Son pilote, un anglais à lunettes au look de séminariste, rompt lui aussi avec les standards habituels. Mais qui est donc ce John Miles, sorti de nulle part, qui fait lui aussi ses débuts en GP ?
par Francis Rainaut
Nb. Les interventions de John Miles sont extraites d'un article paru dans MotorSport en octobre 2014.
18:30 Publié dans g.hill, j.clark, j.miles | Tags : colin chapman, jochen rindt, john miles | Lien permanent | Commentaires (7) | Facebook | |