01 décembre 2020
ma saison 67 en prototypes
1000 kilomètres de Spa : « Quelle voiture merveilleuse à conduire »
Lorsque j'ai fait mes projets pour la saison 1967, j'ai décidé que le mieux serait pour moi de ne me lier avec aucun constructeur de façon permanente, afin de pouvoir choisir la meilleure voiture pour chaque course. J'ai estimé qu'une Ford serait la meilleure monture pour Daytona, Sebring et Le Mans et qu'une Porsche d'usine irait le mieux à la Targa Florio, aux 1000 kilomètres du Nürburgring et au circuit du Mugello.
par Paul Hawkins (*)
(*) fac-similé d'un article paru dans Sport Auto #69 d'octobre 1967
08:51 Publié dans c.amon, j.williams, p.hawkins, r.stommelen | Tags : paul hawkins | Lien permanent | Commentaires (6) | Facebook | |
20 novembre 2020
Mon cher et vieux Routier
Une faille spatio-temporelle me précipite de la Canebière à l'abord de la cuvette de Couard en une journée.
Pluie et brouillard sur le vieil autodrome parisien. Le plafond est aussi bas que le toit de la Matra bleue où je suis le passager allongé d'un pilote au casque bleu agrémenté d'un autocollant Stand 14 et du trépan Elf.
Le choc temporel m'aurait-il rétroporté en octobre 1969 lors des premiers tours des 1000 km de Paris lorsque Jean-Pierre Beltoise plongeait à plus de 200 km/h dans la cuvette de Couard, la mal nommée, harcelé par le binoclard le plus vite du monde, Masten Gregory ?
Patrice Vatan
09:18 Publié dans jp.beltoise | Tags : routier montlhéry | Lien permanent | Commentaires (7) | Facebook | |
15 novembre 2020
Gran premio de México 1964: ultimes tours pour un titre …
Le drapeau s'abaisse devant les dix-neuf pilotes qualifiés qui s’élancent pour le dernier Grand Prix de la saison. Trois d'entre eux peuvent prétendre au titre mondial. Lors de la course les trois hommes vont tour à tour se positionner en virtuel champion du monde. Jusqu’à ce que le sort désigne l'élu qui bénéficia de deux coups de pouce (de pousse ?) pour coiffer la couronne.
François Coeuret
17:38 Publié dans g.hill, j.clark, j.surtees, l.bandini | Tags : john surtees | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | |
04 novembre 2020
Good bye Sir Stirling
Dans les années cinquante, alors que j’étais un jeune garçon, il n’y avait pas la télévision chez mes parents. Mais il y avait la radio et les commentaires inimitables de Tommy Franklin (*) qui me faisaient vivre les courses automobiles.
Raymond Jacques
(*) de son vrai nom Farouk Mourad Weziroff
17:52 Publié dans s.moss | Tags : stirling moss, tommy franklin | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | |
06 octobre 2020
Les trois mousquetaires
Dessin ©Olivan 1973
Mai 1973, le Grand Prix de Pau est sauvé. Le maire de la cité, André Labarrère, a réhabilité sa piste, les normes exigées par la CSI sont en place. Les bottes de paille ont disparu, les rails assurent une protection relative pour les pilotes installés dans leurs fragiles monoplaces. La société Elf a apporté un soutien financier non négligeable à la célèbre épreuve hexagonale. Ce 6 mai en début d’après-midi François, Patrick, Jean-Pierre et les autres se positionnent sur la grille de départ…
François Coeuret
00:05 Publié dans f.cevert, jp.beltoise, jp.jarier, p.depailler | Tags : françois cevert | Lien permanent | Commentaires (6) | Facebook | |
03 septembre 2020
Balade écossaise : GP Italie 1965
Les deux pilotes britanniques sont au coude à coude en cette fin de course. Un Grand Prix haletant. Deux équipiers que le drapeau à damier doit départager. L’un est à la recherche de son premier succès tandis que l’autre, pilote confirmé, est déjà entré dans le cercle des champions du monde.
François Coeuret
14:28 Publié dans g.hill, j.clark, j.stewart, j.surtees | Tags : jackie stewart, jim clark | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | |