14 mai 2023
JEAN-PIERRE BELTOISE: Comment j'ai gagné à Monaco
... Quand la pluie a redoublé, j'ai sincèrement espéré que la direction de Course allait arrêter l'épreuve...
Pour compléter notre hommage à JPB, nous publions un fac-similé d'un article de la revue Champion dans lequel Jean-Pierre raconte sa fameuse victoire de 1972, propos recueillis par Olivier de la Garoullaye (*)
(Réédition 2023)
09:26 Publié dans jp.beltoise | Tags : jp beltoise, brm, gp monaco | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | |
24 avril 2023
Jean-Louis Bousquet, l’avocat au pied lourd
Parallèlement à ses études de droit le Parisien Jean-Louis Bousquet occupe ses périodes de loisirs sur les circuits de karting. Ces moments ludiques vont prendre petit à petit une bonne place dans son emploi du temps. Son aisance au volant le mène à la compétition.
En 1973 Jean-Louis Bousquet participe au championnat de France Elite face à une concurrence relevée, des acteurs coriaces. Il l’emporte devant, excusez du peu, un certain Alain Prost.
François Coeuret
17:47 Publié dans a.prost, j.ragnotti, jl.bousquet | Tags : jean-louis bousquet | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook | |
14 mars 2023
24H de Daytona 1968 - le hold-up de Porsche
L'an 1968 : la réglementation du Championnat du Monde Sport-prototype évolue. La catégorie sport oblige l’utilisation d’un moteur issu de la série qui ne dépasse pas 5L de cylindrée et la production de cinquante exemplaires minimum. La catégorie prototype ne doit pas excéder 3L de cylindrée. Exit les monstres US de 7L et les superbes prototypes 4L de Maranello. Qui peut maintenant saisir l’opportunité et tirer les marrons du feu ?
Début février 1968 : ouverture du Championnat en Floride sur le Speedway et routier de Daytona.
François Coeuret
18:48 Publié dans h.herrmann, j.siffert, r.stommelen, v.elford | Tags : daytona, porsche 907 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | |
17 février 2023
Les trois vies de Gérard Larrousse
Trois époques qui déterminent les trois vies de l’homme originaire de Lyon : Pilote, chef d’écurie, gardien de la mémoire de la course et des 24 Heures du Mans…
Gérard Larrousse, jeune adulte, poursuit des études à l'école supérieure de commerce à Paris. Il contracte le virus du sport automobile en participant un été au rallye du Var. Au début des années 60 il va sillonner les rallyes français au volant d'une Simca Aronde puis de Renault (Dauphine-R8), avec succès. Cet homme réservé a connu une ascension discrète, le public mit du temps à palper son talent. Sa carrière de pilote monta cependant crescendo pour atteindre les disciplines phares à l’exception de la Formule 1 où il fit de rares apparitions. Au moment de raccrocher le casque son expérience de pilote liée à son goût pour l’organisation feront de lui un directeur d’écurie recherché. A l’âge des cheveux blancs l’appel du volant le ramène au pilotage des anciennes qui ont traversé son âge d’or. Président du club des pilotes des 24 Heures, il retrouve une fonction de fédérateur. Revenons sur les étapes qui jalonnent la carrière de Gérard Larrousse.
François Coeuret
17:46 Publié dans g.larrousse, h.pescarolo | Tags : le mans, gérard larrousse | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | |
03 février 2023
Rétromobile 2023 : to everything there is a Season (*)
Paris porte de Versailles, février 2023. Après deux années un peu pénibles, Rétromobile effectue son grand retour. Notre cher salon a retrouvé sa date habituelle, idéalement placée entre quelques escapades sur les pistes enneigées. Il a aussi retrouvé son espace, bien réparti sur trois vastes halls, « as usual ».
Muni des accréditations idoines, Il ne me reste plus qu'à traquer l'oiseau rare et surtout à rencontrer les copains.
(*) A time to be born, a time to die
Francis Rainaut
- voir aussi : Rétro 2023, et pour quelques images de plus
18:14 Publié dans g.larrousse, h.pescarolo, j.laffite | Tags : rétromobile 2023 | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | |
09 janvier 2023
PILOTE D'USINE, par Johnny Servoz-Gavin (fin)
Fin de saison chargée pour Johnny. Le Grenoblois, simple réserviste en début d'année, est désormais partout : en Prototypes, en formule 2, en formule 1. C'est le pilote qui monte.
Ce qui va lui manquer, c'est un bon volant en F1 pour 1969. Alors on peut rêver ... Coéquipier de Chris Amon chez Ferrari, de Jackie Stewart chez Matra International, de Graham Hill chez Lotus ? Rien de tout cela. JSG redoublera « sagement » en formule 2.
Et on se demandera longtemps si cela aussi ne l'a finalement pas démotivé. Le fait est qu'on ne retrouvera jamais le Servoz-Gavin cuvée 68...
Francis Rainaut
(Fac-similé d'un article de la revue Sport Auto, décembre 1968)
18:18 Publié dans j.servoz-gavin, j.stewart, jc.killy | Tags : servoz-gavin | Lien permanent | Commentaires (8) | Facebook | |