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02 janvier 2017

All You Need Is Love

john love,pedro rodriguez

Lundi 2 janvier 1967. Si l’on compte bien, ça doit tout juste faire cinquante ans.

Un diable de Rhodésien au volant d'une Cooper-Climax sortie d'on ne sait où s'apprête à remporter le Grand Prix d'Afrique du Sud, en ouverture du championnat du monde à Kyalami. Celui-là, il ne va quand même pas nous refaire le coup de Black Jack en 66, avec son Repco à deux balles, pardon, à deux soupapes par cylindre ! Il ne reste que six tours à parcourir, et deux Cooper sont alors en tête...

signé Francis Rainaut

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17 juillet 2015

Scarab : All Things Must Pass (Part 3)

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par Francis Rainaut

 

A partir de 1961, le règlement de la Formule 1 abaissant la cylindrée maximum de 2,5 à 1,5 litres conduit les constructeurs britanniques à créer une nouvelle série appelée « Formule Intercontinentale », acceptant les moteurs jusqu’à 3 litres. Le team Reventlow fourre alors son vieux 3L-Offy dans une de ses F1 et envoie le tout en Angleterre avec Chuck Daigh pour disputer la série. Mais le moteur était un peu juste en puissance, et le châssis vraiment pourri...

Voir également :

- Rich Man, Poor Man... (Part 1)

- Scarabs, Let It Be (Part 2)

- Scarab's miscellaneous

 

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01 avril 2014

Hit the Road Jack !

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Le doyen des vainqueurs de Grands Prix Sir Jack Brabham fête ses 88 ans le 2 avril.

L'occasion pour nous de revenir sur son ultime saison de course en 1970, une sorte de tournée d'adieux aux circuits riche en victoires mais aussi en désillusions.

Qu’on en juge, le « vieux tigre » s’engage cette année-là  sur tous les fronts, F1, F2, Sport-Prototypes et même Indianapolis ! Pas si mal pour un futur retraité.

Francis Rainaut

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06 février 2014

Jochen Rindt & Co: 50 ans après les débuts de Jochen en GP (face B)

b.ecclestone,j.rindt,e.fittipaldi

... Les amis, les rivaux, les contemporains : ce qu’ils sont devenus

Remarques de Klaus Ewald, traduit de l'anglais par Francis Rainaut

 

A l’instar de l’allemand Bernd Rosemeyer dans les années trente et du canadien Gilles Villeneuve dans les années soixante-dix et quatre-vingt, Jochen Rindt dans la Lotus Ford 72 est considéré comme l’archétype du jeune et courageux héros de Grand Prix doté d’un charisme illimité et d’une popularité intemporelle...

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01 février 2014

Jochen Rindt & Co: 50 ans après les débuts de Jochen en GP (face A)

jochen rindt,emerson fittipaldi

Les amis, les rivaux, les contemporains : ce qu’ils sont devenus ...

Remarques de Klaus Ewald, traduit de l'anglais par Francis Rainaut

- voir aussi le texte original en anglais Back to the roots

Quem di diligunt, adulescens moritur (Plautus, Bacchides, IV, 7, 18)

Le James Dean de la Formule Un. La première pop star jamais vue en Grand Prix. L’homme le plus rapide qui ne se soit jamais assis dans le cockpit d’une monoplace de Grand Prix, de tous les temps. Plus charismatique que Jim Clark, Jackie Stewart et Graham Hill réunis. Tué et malgré cela devenu champion du monde quelques semaines plus tard. Le premier parlant allemand. Karl Jochen Rindt (1942 – 1970) était le fils du fabriquant d’épices allemand Karl Rindt et de son épouse autrichienne Ilse Martinowitz. Né dans la ville allemande de  Mainz et de citoyenneté allemande pour la vie, Rindt a perdu ses deux parents lors d’un bombardement aérien sur Hambourg en 1943 – la fabrique d’épices Klein & Rindt avait une succursale dans le fameux Speicherstadt d’Hambourg qui fait désormais partie de la nouvelle ville d’Hafen.

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