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05 mars 2019

Tricher n’est pas courir !

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Concevoir une voiture de course oblige à se baser sur une réglementation destinée à équilibrer les forces en présence et canaliser l’esprit inventif des ingénieurs. Certains sont tentés d’exploiter les failles du règlement, ils lisent parfois entre les lignes et trouvent des solutions particulièrement ingénieuses pour imposer leur création.

Mais de là à la tricherie… Il n’y a qu’un tout petit pas. Les cas commencent à apparaître à la fin des années 70 lorsque les intérêts financiers des sponsors et l’implication des grands constructeurs pèsent sur la compétition. Rappel de quelques exemples notoires…

par François Coeuret

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24 février 2019

Du chianti pour Bracco…

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La ville de Biella en Italie est située dans le Piémont, à 80 kilomètres au Nord de Turin et à 80 kilomètres à l’Ouest de Milan. C’est là que se trouvait l’une des plus importantes industries de la laine et du textile en Europe. Cette production perdure encore aujourd’hui, mais seulement dans le très haut de gamme. C’est là que naquit Giovanni Bracco le 6 juin 1908 dans une riche famille d’industriels de la laine. A l’âge de 15 ans, il s’embarque sur un bateau en partance pour le Brésil pour y faire fortune. Il est rapidement rappelé à la dure réalité des choses et il revient en Italie.

par Raymond Jacques

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16 février 2019

She'll be drivin' six white horses when she comes...

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Soyons clair. J'étais un peu en panne d'inspiration pour le titre de cette note consacrée à Rétromobile 2019. Et comme je m'étais dépêché de redescendre des montagnes enneigées de la Tarentaise pour être présent au « Salon », je me suis souvenu du titre de cette ritournelle. Précisons au passage que l'Amilcar illustrée plus haut n'est pas une 6 chevaux, voilà c'est dit.

Et ajoutons que cette fois-ci, il s'agira essentiellement de plaisir des yeux.

Francis Rainaut

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28 janvier 2019

Offensive du milieu de grille... Et podium !

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Depuis la douzième position au premier passage sur la ligne, le pilote de la monoplace verte et argent n’a cessé d’attaquer tout au long de cette course. Il a profité de quelques abandons mais aussi dépassé huit adversaires pour se hisser sur le podium… Lauda vient d’abandonner et il ne lui reste plus que quatre tours à accomplir après lesquels la seconde marche de ce podium l’attend.

par François Coeuret

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17 janvier 2019

Tasman '69 (suite): l'Amon tonique...

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Lakeside, Australian GP 1969 

La mariée était probablement trop belle, l'état de grâce n'allait donc pas durer. Qu'on se rappelle la saison soixante-huit et toutes ces courses où Chris la malchance était en tête…

Le Néo-zélandais réussirait bien à casser l’attache de ses lunettes, comme à l’International Trophy de Silverstone, ou peut-être même sa pompe à essence, comme à Jarama. A moins que la voiture de tête qu’il s’apprête à doubler ne lui projette un caillou dans le radiateur d’huile, comme ce fut le cas de la Honda de Surtees à Spa. Spa où il s'était permis de devancer Stewart 2nd sur la grille de 3,7 secondes, excusez du peu.

Si cela ne suffisait pas, on pourrait y ajouter Monza, où les techniciens de la Scuderia avaient piqué à Matra le concept d’aileron mobile hydraulique. Parfait tant que le liquide ne fuit pas et n’arrose pas copieusement les roues arrière (*) ! Ça vous suffit ? Sinon il nous reste encore le Mont-Tremblant ou Mexico.

Mais l'année 68 est bel et bien terminée, et là nous sommes aux antipodes. Voyons un peu comment notre Kiwi va s'en sortir...

par Francis Rainaut

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04 janvier 2019

Tasman '69: surtout tant qu'Amon...

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La série Tasman 1969, c’est un peu le monde à l’envers. En pleine période de domination Lotus-Cosworth, c’est une Ferrari, pardon une Dino, mue par un V6 dont le dessin initial vient tout droit des années cinquante qui domine les débats. A son volant, un Chris Amon qui a balancé aux orties sa tunique de poissard ! C’est un véritable conte de fées que vivra le charismatique pilote néo-zélandais. C'est à croire que son chat noir, probablement parti vers quelque escapade amoureuse, l'a enfin déserté…

Et les adversaires médusés d'en perdre leurs moyens, surtout tant qu’Amon aura la baraka. Que notre Kiwi réussit à conserver tout au long des sept courses que compte alors la série (*).

C’est cette saga peu habituelle que je vais vous conter...

par Francis Rainaut

(*) Et moi à placer ma blague à deux balles.

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