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03 novembre 2017

Grand Prix de l’ACF 1954 : d’un souffle entendu…

fangio,ascari

 

La décennie Fangio - II -

  « Prêté » par Mercedes qui a retardé la sortie de sa voiture,  le Champion du Monde argentin a remporté les Grand prix d’Argentine et de Belgique sur une Maserati en début de saison avant de rentrer dans le giron allemand au volant de la nouvelle Mercedes W196. Enfin prête pour l’épreuve française, cette dernière répond à la récente réglementation, moteur 2500cc atmosphérique (ou 750cc suralimenté), carburant libre. En terre rémoise l’impressionnante « machine de guerre » va survoler la course.

par François Coeuret

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23 octobre 2017

Bremgarten 1951 : El Maestro dompte la tourmente

juan manuel fangio,gp de suisse

Berne 1951 ©Michael Turner 

 

La décennie Fangio - I -

  El Maestro se positionne en première ligne sur la grille de ce second Grand Prix de Suisse, première épreuve du Championnat Mondial de l’année. Le ciel a décidé de verser une pluie tenace sur l’épreuve. Le circuit helvétique tracé dans la forêt au nord de Berne ne représente pas une sinécure pour les pilotes par temps sec. Sous la pluie, il va tourner aux « travaux forcés » pour nombre de concurrents mais pas pour l’argentin de Balcarce.

 par François Coeuret (*)

 

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06 octobre 2017

La fureur de vivre (*)

françois cevert,alpine

Parcourant la toile, nous avons retrouvé ce texte de Jean-Jacques Ardouin, le meilleur ami de François Cevert, un texte publié jadis sur Mémoire des Stands.

A lire à 160 (ou bien 170) km/h, c'était ça les années soixante !

(*) réedition

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29 août 2017

Le talent d'Achille

varzi-ilsepietsch.jpg

 

Je me rappelle cette vieille histoire au sujet d’un copain motard tout juste sorti de l’hôpital après un grave accident. Il avait assez bien récupéré, et savait la chance qu’il avait d’être toujours en vie, mais pendant un certain temps la douleur avait été si intense qu’on lui avait administré de la morphine.

« Si cela devait se reproduire, » racontait-il, « j’essaierais de m’en sortir sans ce truc. La douleur n’était rien comparativement à l’état de manque dans lequel je me suis retrouvé lorsqu'ils ont arrêté la morphine. Les anglais ont un nom pour qualifier cet état, ils l’appellent je crois, “cold turkey”. Et pendant tout ce temps tu sais pertinemment qu’il te suffit d’un seul shoot pour te sentir bien, au moins pour un moment… » Voilà qui nous amène tout naturellement à parler d'Achille Varzi.

 

par Francis Rainaut,

adapté d'un texte de Nigel Roebuck, MotorSport

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15 juillet 2017

Ten Years After

copersucar.JPG

Fittipaldi F5A/2 1978 - Williams FW07B 1980

Magny-Cours, le 1er juillet 2017... c'est le Grand Prix de France Historique. Au programme des courses de F1, des courses de F2, des courses de F3. Et même de Sport-Protos ! mais aussi des Formules Ford, et en prime, deux Scarab. Et un accès libre aux stands et au paddock, comme à la fin des sixties. Que demander de plus, on ne pouvait pas rater ça.

Tombé du lit le samedi matin à 5 heures, un peu dans le genre amoureux se dépêchant de rejoindre un improbable rendez-vous. J'embarque dans mon trip mon pote Thierry, claviers et guitare rythmique du groupe Djul & the Gang, entre autres talents. Tout cela promet d'être grandiose.

J'emmène à tout hasard un short, une casquette et les Wayfarer, va savoir, la météo n'est pas une science exacte...

par Francis Rainaut

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18:24 Publié dans j.hunt | Tags : scarab, ligier, williams, mc.laren | Lien permanent | Commentaires (4) |  Facebook | |

20 juin 2017

La pointe Bordino

pietro bordino

Dans l’entre-deux guerres, toute voiture un tantinet sportive se devait de présenter une « pointe Bordino », gage visible de performance et de vitesse. La « pointe Bordino », donnait au conducteur de la voiture qui en était dotée un statut de sportsman, voire de pilote de courses. Pratiquement, il s’agissait de finir l’arrière de la carrosserie en rétrécissant ses flancs, jusqu’à ce qu’ils se rejoignent dans une sorte de proue de bateau verticale et à contre sens.

Mais qui donc était ce Bordino ? Un carrossier inventif, virtuose du tas et du postillon ? Un génial aérodynamicien ?

 

par Raymond Jacques

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